L'Observatoire International de la Violence à l'Ecole - OIVE
Colloque national sur les violences faites aux enfants
Les enfants exposés aux violences collectives : quels impacts ? quels soins ?
Le parcours du jeune aux comportements violents en institution : si on en parlait ?
Violence sous protection. Expériences et parcours des jeunes récemment sortis de placement
Il apparaît d’abord que la perception de la violence ne se comprend qu’au travers du passé social et familial des interviewés. D’autre part, certaines violences se logent dans les interactions entre les jeunes et les acteurs institutionnels ou avec leurs pairs, en particulier dans des situations de huisclos, rendant leur dénonciation difficile. Si les violences entre jeunes et adultes semblent particulièrement prégnantes dans certaines familles d’accueil, les violences entre pairs sont plus fréquemment dénoncées dans les établissements de la protection de l’enfance comme les foyers.
Les mineurs au coeur des cyberviolences
Ainsi que le souligne Michel DESMURGET dans «la fabrique du crétin digital », nos enfants passent plus de temps devant les écrans qu’à l’école, et ce dès la maternelle. Il a par exemple été calculé qu’en un an les lycéens passent en moyenne l’équivalent de deux années et demie de temps scolaire (soit 2400 heures) devant leurs écrans.
Projet européen CAN-MDS II contre les violences et négligences envers les enfants
Le point de départ de la démarche CAN-MDS est le constat, partagé au niveau européen, d’un manque de données relatives aux situations de violence et/ou de négligence envers les enfants. Le dispositif d’observation CAN-MDS a été développé pour pallier ce manque de données et pour faciliter le repérage de la maltraitance. Il est centré autour d’une application informatique qui permet d’enregistrer les cas de violence et/ou de négligence.
Les mineurs au coeur des cyberviolences
Retour aux actualitésProjet européen CAN-MDS II
Le point de départ de la démarche CAN-MDS est le constat, partagé au niveau européen, d’un manque de données relatives aux situations de violence et/ou de négligence envers les enfants. L’absence de définitions opérationnelles ou de pratiques communes d’enregistrement ; l’utilisation de méthodes et d’instruments divers pour la collecte des données et leur partage entre les acteurs concernés constituent des obstacles à la surveillance efficace en matière de maltraitance.