Le point de départ de la démarche CAN-MDS est le constat, partagé au niveau européen, d’un manque de données relatives aux situations de violence et/ou de négligence envers les enfants. L’absence de définitions opérationnelles ou de pratiques communes d’enregistrement ; l’utilisation de méthodes et d’instruments divers pour la collecte des données et leur partage entre les acteurs concernés constituent des obstacles à la surveillance efficace en matière de maltraitance.